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Séminaire dédié au Génocide arménien dans les cadres du projet “Les témoins silencieux de l’histoire”

 
 
Le 10 avril, au centre juvénile créatif “Endanik” du Ministère de la Science et de l’Education de la RA a démarré le projet “Les témoins silenciux de l’histoire” dédié au centenaire du Génocide arménien. Le directeur du centre juvénile créatif Endanik A. Minassian dans son discours a présenté le projet “Les témoins silencieux de l’histoire”, qui incluait une série de 16 performances variées: séminaires dans les communes de la région, travaux de nettoyage dans le territoire de 10 obélisques, concours thématiques et plantation symbolique d’arbre.
Il a importé la participation de la minorité nationale au projet dont le but est d’élargir chez les adolescents les notions sur le Génocide, de développer l’idée que le peuple arménien est une nation qui crée et garde des valeurs interhumaines, de proclamer contre “le vandalisme et le massacre culturels’’, d’apprécier les valeurs nationales et culturelles, d’élever l’esprit national et patriotique des adolescents, de regrouper les adolescents de la région Chirak, ainsi que ceux qui habitent en Arménie autour d’une forrmule “Je me souviens, je revendique…”.
La première performance était le séminaire intitulé “Le Génocide” qui a eu lieu dans la salle de spectacle du centre juvénile créatif  “Endanik” auquel ont participé les représentants et les élèves de différentes communes de la région Chirak, les membres de l’union volontaire Yerkrapah, les figures culturels, les historiens, les professeurs, les présidents des ONG, employés des établissements urbains et régionaux, les membres de l’Uinon des Ecrivains de la région Chirak et les élèves du centre “Endanik”.
Sous la prière du pasteur spirituel du Diocèse de Chirak, prêtre Ter Pavstos Sargssian, les présents ont rendu hommage aux victimes innocents du Génocide arménien.
Le séminaire animé par le professeur d’histoire A. Petrossian avait une structure intéressante et solide. Il a donné des renseignements sur les positions des autorités turques qui se succédaient, la politique menée, ainsi que la réaction internétionale sur le massacre épouvantable exécuté au début du XXe siècle. Les matériels documentaires présentés parallèlement rendaient plus clairs les témoignages et les phénomènes du Génocide arménien.
Au cours de la performance ont pris parole: H. Seroyan - président de l’ONG de l’union des Yezdis des régions du Nord, L. Haroutyunian - président de la filliale de l’ONG Rosio de Gumri, K. Ispirian - président de la commune grecque “Ellada”. Ils ont présenté leurs émotions envers le Génocide arménien en considérant la souffrance centenaire la leur.
Le professeur de l’Institut pédagogique de Gumri, l’historien E. Vardanian plein d’inspiration de l’espoir et de la foi envers l’avenir a suscité la nouvelle génération garder l’identité nationale, être revendicateur, mais en même temps tolérent et défenseur envers la culture de la minorité nationale.
On a salué aussi les disours des adolescent-participants qui ont manifesté de la volonté et ont juré de ne jamais se rendre et au nom de la nouvelle génération se sont engagés à lutter pour la reconnaissance internationale du Génocide arménien.
 
Herminé Sargssian